La gestion maladroite du présent

M Bailleul, et d’autres membres de ses colistiers actuels, plutôt que de marquer leurs désaccords ouvertement (par exemple lors des conseils municipaux ou en démissionnant) ont préféré pendant l’année 2007/2008 de ne pas assurer leurs rôles d’élus en ne participant ni aux séances ni aux votes, tout en touchant leurs indemnités et en AGISSANT en catimini non seulement pour prendre les rênes du pouvoir de l’hôtel de ville mais aussi et surtout détruire et salir l’image d’un homme qui y avait consacré une grande partie de sa vie !

Un bref historique: Monsieur David Bailleul a débuté sa carrière en politique en trahissant la confiance de ceux et surtout de celui qui lui avait mis le pied à l’étrier.

Nonobstant une entrée en politique peu honorable, la première partie de son mandat et sa communication, fut orientée lors de chaque réunion publique ou publication écrites, pour détruire l’image de son prédécesseur. Ce maire et  ses adjoints n’ont eu de cesse par des phrases assassines et répétitives de "tuer le père". Rappelez-vous les 45 ans de dettes qui en un an de mandat passe à moins de dix ans !!!  Devant  la levée de boucliers de ces procédés par des citoyens objectifs, et le courroux des militants une nouvelle dialectique est apparue avec « gestion maladroite du passé » mais le mal était fait !

 Le climat politique à Coudekerque-Branche a été initié par M Bailleul et son équipe et eux seuls en ont défini les règles du jeu !

Ce préambule pour parler de la gestion du présent :

v  Des projets immobiliers qui dés 2008 devaient voir le jour dans le Vieux-Coudekerque et dynamiser, rajeunir et changer l’image de ce secteur de la commune. Ces projets comme dans d’autres ont été délibérément laissés en suspend.

v  Le déroulement des travaux de la place de l’hôtel de ville qui a été géré, comme tous les administrés ont pu le constater, de façon maladroite. Et l’histoire n’est peut-être pas finie 

v  La Communication qui malgré des moyens financiers extraordinaires à abouti au fameux buzz que tous les administrés de Coudekerque-Branche ont pu constater dans le numéro 58. 

v  Une gestion du personnel dénoncé par la cour des comptes, avec un nombre de cadres (quatre DGS, DGSA, des directeurs en surnombre) digne d’une communauté urbaine. Alors que des lieux accueillant vos enfants ou le public ne sont plus nettoyés faute de personnel !  

v  La vente de la cuisine centrale avec une moins value de 1.600 000 € ( une année de frais de fonctionnement d’une commune comme Coudekerque-Branche.)

Voilà la gestion, et les ACTIONS DU PRESENT, de celui et ceux qui un jour ont décidé qu’ils seraient élus pour l’avenir! Trouvez vous cette gestion très adroite?

Le groupe de travail.